lundi 24 mars 2014

Des lumières sur le village Étampes 02 aux Foulées du Tertre à Montmartre.

22/03/2014. Des lumières sur le village Étampes 02 aux Foulées du Tertre à Montmartre. (Exposé communiqué au ministère public.

Sans coups tordus, le seul évènement anormal produit dans cette sympathique et joyeuse ambiance sur la hauteur parisienne de la Basilique Sacré Cœur de Montmartre de la course à pied festive, a été la mise innocemment dans mes mains le calendrier des courses à pied de la Picardie, région avoisinant les départements de l’Île de France des alentours de Paris. En survolant ce calendrier inattendu, je me suis enfin rendu compte d’avoir bafouée le député-maire UDF en campagne électorale Frank Marlin, par des imputations erronées de la suppression de la course à pied dans son village ÉTAMPES 02 en Picardie. Contrairement à mes affirmations, la course à pied recherchée à bien dû avoir eu lieu, mais dans l’autre village ÉTAMPES 91 dans l’Île de France. (Sur la page d’accueil du blog dietrichp13.wordpress.com, l’article rossard a résisté à la suppression bloquée).

 Ainsi, dans des circonstances normales d’un État de droit, je n’hésiterais pas d’adresser des excuses publiques  au député-maire UDF en campagne Frank Marlin, bien qu’il soit une de ces créatures vermoulues de Sarko-les-pots-de-vin, bien que sa coterie scélérate ne se soit jamais abaissée de s’excuser de mon déstabilisation psychique par des affronts humiliants publiés de leur cortège laudateur des journaleux à gages, (ainsi la déstabilisation morale de mes proches), pour empêcher la saisine de la feue Haute Cour de justice des criminels perpétrant le complot pénalement qualifié contre la sûreté de l’État.  Forcément, le beau monsieur le député-maire parachuté à  ÉTAMPES 02 a activement participé en concert avec les vendus de la même farine moisie. Personne de la bonne société coupable ne s’est encore dévoué de réparer mes incommensurables dommages matériels et moraux, ni ceux de me proches, alors que cette coterie verse aux avocats saboteurs de mes accusations sériées, sans conteste fondées, des honoraires d’un montant astronomique allant jusqu’à un millions de dollars /heure, inclus les heures de déplacement, conférences, déjeuners... N’en parlons pas de l’armée des détectives privés aussi grassement appointés des sociétés de surveillance, faisant aussi travailler au noir des fonctionnaires spécialisés des secteurs de la technique de pointe.

 Il m’est donné par ce rocambolesque incident à ÉTAMPES 02  de rectifier la condition première de la légalité des suites judiciaires : la question préalable et/ou préjudicielle, aux juridictions légalement compétentes de l’évaluation du montant de ma modique note de frais. L’équité judiciaire, un autre droit fondamental de caractère supra-constitutionnel, exige à ce que mes travaux constructifs au regard Droit et de la Justice soient, au moins, payés au tarif maximal versés aux avocats destructeurs de la légalité par des artifices coupables, sabotages organisés et fraudes défrayant actuellement la chronique au sujet des écoutes téléphoniques et enregistrements pratiqués sur les conciliabules de l’arrière cuisine politique du maître cauteleux, doublé d’escroc de haute volée Nicolas Sarkozy, sa camarilla dorée et sa clique friquée des fieffés gangsters commensaux de la déprédations systématique des biens et deniers publics, du ruine de l’économie nationale, des rapines des biens des particuliers.

 À ce régime de l’équité et d’égalité du traitement judiciaire, avec trente-cinq ans d’arriérées à indemniser, personnellement comme de droit, par Sarko-le-pots-de-vin, de ses prédécesseurs et de leur coterie de truands de haute et bas étage miraculés de la feue Haute Cour de justice, je deviendrai le coureur le mieux payé du monde : mes périlleuses randonnées aux compétitions des courses à pied présentent des actions extra-judiciaires parfaitement indemnisables à même titre que les libations dispendieuses d’affaires et macabres conciliabules des avocats friqués, en tourné de corruption et du trafic d’influence dans les hautes sphères du Pouvoir. J’ai déjà réclamé au ministère public, selon la pratique courante appliquée à l’égard des gangsters ordinaires, la mise sous séquestre judiciaire tous les biens disponibles pour la saisie de cette coterie outrageusement enrichie par une catégorie des crimes organisées jamais réprimés. C’est la doctrine des plus savants des mandarins des sciences pénales et de la criminologie du monde entier. « La force prime le droit » depuis des temps immémoriaux ! En ces temps-ci, la force s’exercer par l’argent sale, le nerf de la guerre aussi dans les palais de justice.

Répétons-le aux belles âmes délicats du beau linge qui tiennent en répugnance les électeurs et justiciables du menu peuple : plus aucune juridiction pénale du droit commune a été légalement compétente pour juges le membre du gouvernement avec leurs complices du complot contre la sûreté de État évident depuis la publication citée en 1973 par Alain Jaubert de son livre documentaire DOSSIER D  ...COMME DROGUE, LE MILIEU ET LA POLITIQUE..., LES GROS BONNETS...LES FINANCES ET LES FILIÈRES EN FRANCE. (Ed. Alain Moreau). L’usurpation massive par la prévarication criminelle de la compétence exclusive de la Haute Cour de justice entraîne l’imprescriptible nullité substantielle d’ordre publique de toute cette énorme masse des jugements et arrêts sur des faites criminelles, tous indivisibles des uns des autres, ainsi que les décisions truquées prises par la Cour fantôche de justice de la République. Cette juridiction de remplacement illégalement créée pour anéantir, avec moi, mes constructions juridiques, a débuté son fonctionnement caricaturale par des séries de crimes de suppression des actes de procédure et d’un paquet de faux en écritures publiques pris par des magistrats prévaricateurs... justiciables de belle lurette par la feu Haute Cour de justice pour complot contre la sûreté de l’État. Le raisonnement irréfuté et irréfutable peut encore poussé bien plus loin : toutes les élections ayant suivies la concertation du complot sont viciées par les mêmes illégalités constitutionnelles et illégitimités politiques.

Pour des excuses à l’érudit béni-oui-oui député-maire UDF en campagne électorale Frank Marlin, nous ne sommes donc pas placés dans des circonstances politiques, ni normales, ni légales, encore moins légitimes. Mes activités sont dirigées furtivement depuis le début de mon infiltration dans quatre universités de Droit dans dessins de faire saisir par les professionnels assermentés de la magistrature la Haute Cour de justice pour faire cesser le crime organisé, pour faire rétablir la situation légale et l’État de droit en France. Mes opérations téléguidées visaient de filler à ces hauts magistrats, (qui se sont fait acheter par les plus offrants), devenu leur marchandise avec moi-même, le bébé gangréné, les dossiers commentés du complot contre la sûreté d’État d’une coalition mafieuse de fonctionnaires constituées en associations avérée de malfaiteurs blasées, laquais soudoyés des déprédateurs multinationaux de la France.

 Mes actions, depuis le début sont contrôlées et dirigées, manœuvrés par les barbouzes, parallèlement aux manipulations sournoises et sabotages d’un cartel multinationale de malfaiteurs. En ce moment, comme par le passé, est plus élevé que mon revenu annuel, les dépenses journalières de ma surveillance par ces mafieux : de mes faits et gestes, mes contacts, de mes études, recherches et écritures. L’exploitation de mes notes dans mon « journal intime »,  dont celle révélant le comique d’une bouffonnerie électorale visant la récupération des plumes du paon, vient de tourner à une véritable super-bouffonnerie dans la précipitation de la corriger la nuit même avant qu’elle se répande par des potins dans la commune. À la portée des investigations privées, même éteinte, le téléphone portable est bien plus performant que les bracelets électroniques pour faire suivre par la police les déplacements malfaiteurs en liberté conditionnelle. N’ont rien de surprenant les rencontres aux tournants pour me mettre en pièces détachées, ou alors me faire noyauter par des drôles de zigotos. Mais des manigances et sévices par des moyens l’électroniques dépassant l’imagination débridée des auteurs des romanes science-fiction, c’est-là encore une autre scabreuse histoire....

Mon système informatique en connexion WEB est étroitement et officiellement contrôlé à partir des USA pour déjouer les services secrets civils et militaires de la France tombés les mains des ministres mafieux de la farine moisie Pasqua, Léotard, Sarkozy et ses vassaux : le franc-maçon de la GLNF Guénant, du néonazie Longuet, en ministre de Défense en guerre en Lybie contre le colonel Kadhafi, leur ancien sponsor des faramineux pots-de-vin devenu trop loquace... L’ordinateur isolé, hors-connexion, à partir de je-ne-sais-d’où, est contrôle par des capteurs d’écran, contrôle ayant même permis des interventions sur ma rédaction. Des contrôles et téléguidages pour faire rétablir en France, à l’aide de la reconstituions de la Haute Cour de justice sabordée par les malfrats qui en ont été, et en sont toujours justiciables, cette situation légale foulée au pied par les hautes commis d’État soudoyés de  la hiérarchie gangrené du haut vers le bas de l’échelle.
 Des informations inconvenantes sur Net me sont bloquées, la recherche tantôt dirigée, tantôt verrouillée. 

Souvent des informations trouvées disparaissent mystérieusement avant que je puisse en effectuer une copie, notamment les listes nominatives des lobbys discrets. Sont modifiés furtivement les mot-de-passe de mes fichiers du « journal intime » comportant des informations à éviter à divulguer : mes observations relatives aux attentats contre la sûreté de l’État. Ai-je besoin de préciser que si je me suis planté sur l’internet dans la recherche du bon village Estampe 02 de la course à pied, c’est en raison de la très forte la probabilité d’une manœuvre habillement dirigée. Par quelle organisation ? Cherchez à savoir ! Peut-être rien qu’une autre provocation habillement amenée, pour m’obliger de disserter encore et encore un peu plus sur ce sujet inépuisable du complot contre la sûreté de l’État se déroulant sous nos yeux durant cette ahurissante campagne des élections municipales. Qui va s’interroger pourquoi la barbouzerie fait empoisonner en coulisse par des voyoucrates la vie, fait éclater en sinistre, l’existence d’un humble sous-off de basse extraction, alors que depuis fort longtemps, un de ces juristes prétentieux de bel air, carriéristes nés coiffés pour se faire caser dans la fonction publique par le népotisme et le favoritisme sectaire ? Qui oserait de soutenir dans le reste indemne de la gangrène contagieuse de la magistrature et des maîtres marginalisée dans l’avocasserie des requins aux dents longues, avec leurs diplômes et licences gagnés à la loterie foraine, ces pistonnés supposés compétents, impartiales, assermentés et bien rétribués par le contribuable, sont absolument incompétents pour comprendre les rudiments de la culpabilité pénale des anciens fantoches à la présidence de la République de la coterie politique de Sarko-les-pots-de-vin, des altiers pitres maniérés d’une incompétence si crasse pour s’imaginer que même la qualification pénale incontestée HAUTE TRAHISON de la France par ces fantoches usurpateurs à des puissances politiques, financières et économiques étrangères livrant une guerre sous-terrain à la France ?

Depuis des années, j’ai exposé cet argumentaire béton à la justice aplatie en paillasson du pouvoir par les crimes du trafic d’influence et de la corruption, ses magistrats habitués à la soumission rampante, réduits en laquais du crime organisés dans absolument tous les domaines. Aujourd’hui, dans les actualités, ce beau baladin de comédie de la haute finance déprédatrice, maître coquin Sarko-les-pots-de-vin, se lamente à cors et à cris, sur tous les médias déchaînés, des écoutes téléphoniques légalement pratiquées par quelques juges irréductibles, venant de relever la tête. Cet imposteur du type klépto-démocratiste, ce guignol malfaisant qui a foulés aux pieds tels que des méprisables déchets législatifs les droits fondamentaux de la République, ne manque aujourd’hui pas de souffle de vilipender des juges intègres en viles violeurs de ces mêmes sacro-saintes lois fondamentaux de la République, en raison des suivis téléphoniques de ses combines criminelles avec sa coterie d’escrocs patentés, conspirateurs contre la sûreté de l’État démocratique.

Précisons, (en attendant de la reconstitution de la Haute Cour de justice), devant le ministère publique, à nos vendus cérémonieux tenant dans leurs sales mains  tous les leviers de commande de nos institutions gangrénés: dès que les détenteurs des pouvoirs publiques se mettent manifestement hors-la-loi pour comploter contre la sûreté de l’État au profit des puissances financière étrangères et des trafiquants de haute et bas niveaux, alors, « la résistance » devient parfaitement légale selon les termes et l’esprit de la Déclaration des droit de l’homme et du Citoyen de 1789 : un devoir, une obligation du droit constitutionnel même, des membres de la fonction publique, même si la résistance contrevient par l’état de nécessité aux lois ordinaires, lois devenues en toute manière lettre morte pour la répression des combines criminelles de la haute. J’ai déjà eu l’occasion de le détailler, contradictoire, sans réplique, aux juridictions lors du procès contre le général de la gendarmerie nationale Christian Prouteau,  ayant aussi suivie les actions criminelles des comploteurs par les écoutes. Et, sur ce chapitre-là, il y a acquiescement judiciaire sans réserves, dont l’irrévocabilité n’a jamais été contestée ; acquiescement judiciaire devenu incontestable, irrévocable. Je n’ai jamais renoncé à ma revendication d’obtenir la totalité des transcriptions des écoutes téléphoniques, surtout celles escamotés sur l’ordre de  l’ancien ministre, le capo di capo de la mafia, Charles Pasqua, par ses séides placés de  la Direction de la Sécurité du Territoire (D.S.T). Et la manipulation de mon égarement à Étampes 02 en Picardie, me fait profiter pour revendiquer également les transcriptions des écoutes téléphoniques actuelle sur les conciliabules à la sabotage du bonne déroulement de la justice dans l’arrière-Bazard de la coterie manifestement criminelle de Sarko-les-pots-de-vin, au lieu d’adresser des excuses absolument inconcevables à ce beau monsieur de l’UDF Frank Marlin, au député-maire parachutiste largué sur les malheureux villageoises d’Étampes 02....

Le fin avocat matois, Maître coquin Nicolas Sarkozy de la haute finance déprédatrice, infiltré dans les ministères, puis dans la en présidence de la République, en garant constitutionnel parjure de l’indépendance de la Justice, pour esquiver la contradiction légale, s’arroge sans ciller par son tapage médiatisé de « prendre à témoin les français » menés constamment en bateau par les médias des multimilliardaires, en vilipendant les juges irréductibles encore, et dont la crédibilité est rabaissée par des outrages publics et d’une logorrhée de calomnies. Ce sont des procédés de fripouilles en vogue dans les palais de justice pour, ‑ si les spires ne parvient pas à les assassiner tout court ‑, écraser les authentiques victimes et témoins avisés par ce rouleau compresseur du fric des pirates de la grande finance internationale. Toute minute d’imposture propagandiste présentée à la télé, pour circonvenir la magistrature et rendre maboule l’électorat, est facturée par les marchands fabricateurs des fausses nouvelles aux publicitaires du commerce et du marketing électorale à plus de 500'000 €. Ce déluge propagandiste des démagogues papelards, chafouins et hypocrite amplifie les préjudices moraux des authentiques victimes du complot, exclues de la contradiction judiciaire et du droit de réponse de la presse, démoralisées, hébétées, réduit insidieusement au silence par le discrédit implicite jeté par ricochet sur leur propre argumentaire sensé de leurs griefs. Or, par ce trafic d’influence présidentielle, a été indemnisé un préjudice moral fictif à 45'000 € à l’affairiste interlope Bernard Tapie, en sus du détournement des millions de fonds publics. Une bonne base d’évaluation égalitaire des préjudices des vraies victimes, attestées par les anciens matadors complaisants en tête du ministère des Finances et directeurs du FMI experts : Dominique Strauss-Kahn et Christine Lagarde.

 L’absence de la répression judiciaire contre tous mes argumentaires sériés, d’une insolence provocatrice recherchée, exposés aux juridictions prévaricatrices ou verrouillées, puis étalés sur Web aux regards vigilants des sbires gardiens policières et judiciaires du faux-éclat d’honorabilité  d’un chef d’État très chatouilleux, l’étalage au monde entière de l’opprobre d’un des plus infâmes des scélérats de l’histoire de France, matérialise derechef un aveu comportemental intégral et irrévocable, non seulement par le baladin de comédie lui-même, mais des aveux par tous les composants faisandés de sa coterie complice ; des aveux par tout son cortège  des profiteurs tentant avec grandiloquence d’introniser de nouveau par des artifices criminels des effets spéciaux de médias leur champion des coups tordus de la conspiration contre les droits fondamentaux de la démocratie: Maître fripon Nicolas Sarkozy. Si l’État de droit sera rétabli, les victimes, dont le contribuable, trouveront des débiteurs du beau linge solvable pour assurer la réparation intégrale de  leurs préjudices. (Notons en marge, la jurisprudence sur la responsabilité civile des médias rende indemnisable l’escamotage maline dans un reportage des informations essentiels à la vérité. Bonjour les dégâts pour les empereurs multimilliardaires de la désinformation, combinards de l’intox dans une jurisprudence redevenue égalitaire contre ces gros sacs de pognon sale qui tirent profit de tous les grenouillages des faisans politiques nageant dans les eaux troubles de leur margouillis putréfié du Parlement).
 En France, la tentative du crime est punie par  la loi comme le crime lui-même. Les boniments captieuses débités en jets continus ces jours-ci sur les médias, ce n’est que du vent des artifices avocassiers, des tromperies massives visant à maintenir les électeurs dans leurs fallacieuses opinions manipulées à l’aide de la magie captieuse des mises en scènes théâtrales du cirque des « Bouffons de la République » en tripotage électorale, dissimulant l’évidence sautant aux yeux de la situation « politiquement illégitime et constitutionnellement illégale ». Mais quand les friqués plein aux as font foutre tant des tas de média-merde dans les yeux des spectateurs, sous l’égide de la corruption judiciaire, ces fouteurs de merde sont bien protégé par l’écran de merde aveuglant de la funeste évidence éclatante. 


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15:02:2014.  « Sacrée-Blague » au Semi-marathon. SAINT-WITZ 95470. Val d’Oise. Région Paris.
Extrait réduit de mon journal intime sur la « Sacrée-Blague ». N’ayant pas réussi de me dégommer à la veille du départ, ni durant le trajet, je me suis fait gommer sur la liste des arrivant du semi-marathon, affiché le hall du gymnase de Saint-Witz. Je passais un bon moment à scruter de haut en bas la liste amputé à la recherche de mon nom et le classement. L’année dernière, bouclant les 10 km, je me suis classé dans les premiers vétérans quatre hommes sur la liste affiché dans le gymnase. Boudant alors la cérémonie de remise des prix, j’ai rejoint sans m’attarder la gare de RER de Foss.

 Aujourd’hui, pour ce magnifique parcours dans la campagne, j’ai choisi le semi-marathon de deux boucles. Entre autres anciens militaires, des anciens paras m’ont chaleureusement félicité, prenant note de mes blogs dénonçant le complot international, attentatoire à la sûreté de l’État de la France. La jeune gente féminin, aussi chaleureusement, me questionnait, applaudit au passage ce schnock musclé à l’allure martial, avec sur tout le devant du teeshirt l’insigne triangulaire du deuxième Régiment étranger des parachutistes, et au dos, en grands lettres capitales DIETRICH13.KAZEO.FR, le site Web.


Au franchissement de la ligne d’arrivée, le traditionnel chronomètre aux grands chiffres à cristaux liquides a été invisible. Il n’est pas impossible que je me sois encore qualifié dans les trois vétérans quatre hommes pour recevoir le prix. Bâclé en vitesse, la distribution des prix du semi-marathon, dans la sonorisation détraquée, je n’ai rien pu attendre. Cependant, j’en ai pu retenir le départ singulier, avec leur compagnie de maint gagnant sans recevoir leurs prix sur le podium devant des spectateurs se faisant inhabituellement rares.


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